Pictogramme de protection contre le suivi

Expression des groupes

St-Barth Naturellement

Le Village Pierre Rabhi embrasse toutes les dimensions de la vie locale pour faire société.

Le VPR, CCAS et Centre social de notre commune, doté d’un tout nouvel accueil, est bien plus qu’un guichet d’aides. À la veille de la diffusion de son rapport d’activités et en pleine écriture du projet de Centre social pour les 4 années à venir, revenons sur le périmètre de ses missions. Traitant des questions d’aménagement, de mobilité, en passant par la participation citoyenne et la gestion des ressources humaines, force est de constater que cet établissement public, avec son budget autonome, fait appel à des compétences similaires à celles de la collectivité.

Garant de la qualité du cadre de vie des habitants, il est un acteur essentiel de l’organisation de notre Ville. Pour preuve, son implication dans la gestion des logements sociaux, de la création de la future résidence services senior (dont la 1re pierre sera posée au sortir de l’été).

Le tissu associatif trouve également soutien auprès du VPR qui encourage l’engagement (comme l’ouverture récente du Coin Assos, les bénévoles du VPR, le copilotage avec le service des affaires culturelles de la fête communale…). Moteur de la participation citoyenne, le Village Pierre Rabhi soutient les  initiatives des habitants grâce aux collectifs et au Rucher Citoyen. Il favorise une démocratie locale vivante et permet à chacun de contribuer à l’avenir de notre Ville. Conscient des enjeux de prévention et de sécurité, il contribue à l’épanouissement, l’information, l’accompagnement et à la citoyenneté des jeunes et des familles.

Il porte également une attention particulière à nos aînés. Face à l’isolement, ses équipes proposent des animations sociales, culturelles et sportives pour favoriser le lien social (comme récemment « Trouver Bouger » avec l’OBS, lors d’activités sportives adaptées).

Chacune des actions portées par le VPR vise ainsi à respecter des valeurs essentielles que sont l’accueil inconditionnel, la prévention, le lien social et l’inclusion.

Pour plus de détails, je vous invite à lire le rapport d’activité et à participer aux portes ouvertes en septembre, qui seront également l’occasion de fêter les 10 ans de la dénomination Village Pierre Rabhi.

Isabelle Raimbault, adjointe à l’action sociale et aux solidarités

Être heureux 2020

Un changement s’annonce : et si vous y participiez ?
En 2026, St-Barthélemy-d’Anjou aura un nouveau maire.
Dominique Bréjeon a annoncé qu’il ne se représenterait pas en 2026, mettant ainsi un terme à un cycle politique pour St-Barthélemy-d’Anjou. Malgré certaines divergences, nous le remercions pour les années consacrées au service de la commune.

Ce départ ouvre une nouvelle dynamique. Afin que cette page s’ écrive avec vous, encore faut-il connaître vos priorités, vos idées, vos critiques.
Que pensez-vous de notre commune aujourd’hui ?
– Portés par l’agglomération, de grands projets (ferroutage, future prison, évolution du PLUi) vont impacter notre cadre de vie. Vous sentez-vous suffisamment informés, consultés ?
– Des moyens de déplacement (voies, transports…) sont mis en place pour les piétons, cyclistes, automobilistes ou usagers d’Irigo. Sont-ils adaptés ?
– La Ville héberge plusieurs modes d’accueil pour vos enfants (crèche, écoles, centre de loisirs, TAP) : sont-ils satisfaisants ?
– Des aménagements existent dans certains quartiers (jeux, bancs, arbres…) : correspondent-ils à vos attentes ?
– Les commerces sont-ils suffisants pour répondre à vos besoins quotidiens ?

– L’éclairage public est passé à la LED avec une coupure la nuit : cela vous semble-t-il adapté, notamment en matière de sécurité dans les parcs, écoles, ou coulée verte ?
– Vous habitez la Claverie, les Banchais ou le Colombier : quelles solutions vous paraissent les plus adaptées pour mieux relier votre quartier au coeur de la commune ?
– Le CCAS essaie d’agir envers les plus fragiles. Est-ce suffisant et efficace ?
– Nos associations sont une richesse locale. Ont-elles les moyens de remplir leurs missions (locaux, subventions, accompagnement…) ?
La démocratie représentative à ses faiblesses. Elle ne comprend pas toujours ce que vous voulez et ne vous dit pas tout.
Pourtant, c’est le cadre légal actuel. Plus vous participez, plus elle reflète qui vous êtes et ce que vous vivez. Pour éviter que des décisions ne soient prises sans vous, faites-vous entendre dès maintenant. C’est le meilleur moyen d’être vraiment représenté !
Nous restons à votre écoute pour agir et Être Heureux à St-Barthélemy-d’Anjou.

eh2020@ville-stbarth.fr
Ivain Bignonet, Nathalie Hersant et Laurent Daniel

Saint-Barth Avenir

Un Avenir pour Saint-Barthélemy-d’Anjou : une ville plus durable, plus vivante, plus résiliente

L’urbanisme et l’aménagement de notre commune entrent dans une nouvelle phase. Entre évolution des modes de vie, contraintes réglementaires et attentes des habitants, nous devons repenser nos priorités à l’échelle des prochaines années.

D’abord, les enjeux environnementaux sont devenus structurants. La loi Climat et Résilience fixe des objectifs ambitieux : réduire de moitié la consommation d’espaces naturels d’ici 2031, puis atteindre le Zéro Artificialisation Nette (ZAN) en 2050. Cela nous amène à regarder différemment notre territoire : comment construire sans étendre ? Comment faire mieux avec l’existant ?

Des opérations foncières ont été engagées ces dernières années. Elles permettront demain d’imaginer des projets plus denses, plus économes en foncier, et plus adaptés aux usages. Cela implique aussi de donner une seconde vie à certains sites, de mieux articuler logement, mobilité et espaces publics.

Nous sommes également conscients que le manque de commerces pèse sur la qualité de vie. C’est un point d’attention fort pour les années à venir.
Repenser les centralités, créer des conditions d’accueil pour de nouvelles activités et soutenir la proximité sont autant de pistes à explorer.

Autre constat partagé : l’entretien de nos rues n’est plus à la hauteur. Entrevoir une Ville accueillante passe par un effort sur l’espace public, les voiries, les trottoirs, la végétation maîtrisée. Une gestion plus efficiente, sans produit chimique, reste un défi technique que nous devons mieux accompagner.

Enfin, l’urbanisme ne se pense plus seul, ni d’en haut. Il s’enrichit d’avis, de vécus, de regards. À l’horizon 2030, les choix à faire seront nombreux. Les construire collectivement nous semble essentiel.

Prochain épisode : place à la culture.

Bel été à toutes et tous !

Marie-Thérèse Burr, Richard Papin, Stéphane Vrillon

CONTACT